mercredi 7 avril 2010

Rigolons un peu

Suite à un fait divers relayé ce jour-même par la presse, j'ai trouvé intéressant et amusant de juxtaposer un article de presse relatant ce fait avec sa réécriture par un commentateur sur www.fdesouche.com.


Version "officielle" de l'article de presse :

"Lundi vers 19 h 35, les pompiers d'Avignon reçoivent un appel. Au bout du fil, un résident du quartier de la barbière leur signale un feu de poubelle dans le quartier.


Quelques minutes plus tard, c'est la police nationale qui est contactée. Cette fois pour un cyclomoteur en flammes. Arrivés sur place les gendarmes du feu éteignent le feu de poubelle. Puis soudain, les pompiers et les policiers sont victimes de jets de pierres.


Par soucis de sécurité, les professionnels se sont vus dans l'obligation de se replier et ont décidé de quitter les lieux."



Réécriture par un commentateur de fdesouche.com :


"Ça ne va pas du tout, la lecture de cet article est incompréhensible.


Proposition de correction :


Lundi vers 19h35, plusieurs noirs et arabes d’un quartier mal famé d’Avignon en proie à la violence, à la délinquance et au trafic de cocaïne, ne savaient pas quoi faire pour se divertir. L’un d’eux a eu l’idée de tendre un piège à la police et aux pompiers pour se défouler un peu avant d’aller manger un kebab ensemble.


Pendant qu’il appelait les pompiers et la police, un de ses amis mis le feu à une poubelle puis à une mobylette volée.


En attendant l’arrivée des secours, les criminels ont regroupé des pierres trouvées par terre ou récupérées en cassant le mobilier urbain puis se sont cachés en embuscade.


Lorsque les pompiers et la police sont arrivés et ont éteint le feu, les criminels les ont assailli en leur lançant violemment des pierres au visage dans la ferme intention de les blesser mortellement.


Pour obéir au chantage de paix sociale et pour ne pas risquer une enquête de l’IGS, une humiliation médiatique et une mise à pied, les policiers et les pompiers se sont vus contraints de quitter les lieux sans chercher à en savoir plus ni à interpeller qui que ce soit.


Une fois de plus, la violence gratuite et le vandalisme ont triomphé des forces de l’ordre qui ont rampé pour fuir comme des serpillières dhimmis.


Quant aux criminels adeptes de la lapidation, on suppose qu’ils sont tranquillement dans le hall de leur immeuble en train de fumer des joints et de rire aux éclats en se repassant la scène filmée par un complice depuis sa fenêtre." (écrit par SpaceCochon, commentaire visible ici)



On laissera au lecteur le soin de décider quelle version il préfère.


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