Dans un article publié le 25 février 2006, Le Monde révélait un rapport des Renseignements généraux indiquant l’origine des délinquants opérant en « bandes » dans les quartiers à forte population immigrée.
Selon ce rapport : « Les renseignements généraux ont établi un profil type des principaux délinquants dans ces groupes, à partir de l’étude de 436 meneurs, recensés dans 24 quartiers sensibles. Parmi eux, 87 % ont la nationalité française ; 67 % sont d’origine maghrébine et 17 % d’origine africaine. Les Français d’origine non immigrée représentent 9 % des meneurs, selon les RG. »
À l’annonce de ces statistiques, le MRAP et SOS Racisme dénonceront un « fichage ethnique des délinquants ». SOS Racisme portera plainte....
Une étude menée en Isère montre que deux tiers des mineurs délinquants sont d'origine étrangère.[33]. Pourtant, il y a peu d'immigration en Isère : les immigrés ne représentent que 6,1 % de la population. L'étude indique également que ce phénomène n'est pas spécifique à ce département.
Un rapport de commission d'enquête du Sénat sur la délinquance des mineurs évoque aussi « une surdélinquance des jeunes issus de l'immigration ». Selon ce rapport « Les adolescents dont les deux parents sont nés hors de France commettent 46 % des actes graves » et 32% des actes peu graves. « Parmi les délinquants vivant en HLM, les jeunes d'origine maghrébine représentent 39 % des actes peu graves et 47 % des actes graves ».
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Immigration_en_France#Immigration_et_d.C3.A9linquance
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